SOPK : quel traitement naturel ? Le Syndrome des Ovaires Polykystiques, principale cause d’infertilité féminine, touche 10% des femmes. Ce qu’on sait moins, c’est que les femmes souffrant de ce déséquilibre hormonal sont aussi atteintes – outre l’acné, l’hirsutisme et l’absence de règles – de maladies métaboliques, cardiovasculaires et de diabète. La médecine classique a assez peu de solutions à offrir, sinon la pilule. Ce qui ne convient d’ailleurs pas aux femmes désirant être enceinte, et ne règle pas les autres problèmes de santé. Seuls les traitements et remèdes naturels tels que l’alimentation et une hygiène de vie saine permettent de réguler les hormones (androgènes), soulager les symptômes du SOPK, favoriser la fertilité sur le long terme. Bref, des conseils de naturopathes te seront très utiles. Si c’est le bazar dans tes oestrogènes et ta testostérone, suis le guide !
Sommaire
Les symptômes du SOPK
Non, tes ovaires n’ont pas de kystes. La première chose que je fais avec les femmes atteintes de SOPK que je vais accompagner en naturopathie, c’est leur expliquer leur fonctionnement endocrinien. Avant de parler d’alimentation, de compléments nutritionnels et de bonnes habitudes pour ton quotidien, voici ce que tu dois savoir absolument (mais bien sûr, ensuite, on va voir comment soulager ton SOPK !!).
Les critères de Rotterdam
Seul un professionnel médical (médecin, gynécologue ou endocrinologue), peut poser le diagnostic. Pour cela, il doit relever au moins 2 de ces 3 critères issus sur consensus de Rotterdam :
- Ovaires d’aspect polykystiques à l’échographie pelvienne. On dit parfois qu’ils sont multifolliculaires.
- Signes d’hyperandrogénie cliniques ou biologiques. C’est-à-dire la présence d’acné hormonale ou d’hirsutisme, ou encore une élévation des hormones mâles sur la prise de sang. Il n’y a pas besoin des deux ! Surtout que les médecins font rarement doser TOUS les androgènes.
- Troubles de l’ovulation : cycle irrégulier ou aménorrhée (absence de règles).
Comment savoir si j’ai un SOPK ?
Si avoir les irrégularités menstruelles sont assez évocatrices, ce n’est pas systématique. Certaines femmes en âge de procréer ont leurs menstruations tous les 28 à 35 jours, d’autres ont des règles irrégulières et enfin certaines n’ont même plus de cycle menstruel.
Et si les règles n’arrivent pas, c’est tout d’abord parce que l’ovulation peine à se produire.
Ce n’est pas toujours le cas, mais cette même dysovulation peut être directement corrélée à :
- Acné hormonale
- Hirustisme (forte pilosité et perte de cheveux)
- Prise de poids et troubles glycémiques
Ici, je vais t’aider à comprendre les résultats de tes examens et symptômes cliniques.
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L’échographie : pas de kystes, mais des follicules !
Lors d’un cycle menstruel physiologique, les follicules issus de la réserve ovarienne atteignent leur dernière phase de maturation entre les menstruations et l’ovulation. Un (parfois deux ou trois) d’entre eux se transforment en folliculaire de De Graaf : lorsqu’ils se rompent, c’est l’ovulation. Suite à cette ovulation, la maturation folliculaire se met en pause.
Mais les femmes atteintes de SOPK n’ovulent pas, ou difficilement. De fait, la maturation folliculaire ne se met jamais en pause, mais ne va jamais jusqu’au bout du processus non plus.
Sauf qu’au début de l’histoire de l’échographie, les médecins n’ont pas encore la connaissance suffisante pour comprendre ce qu’ils observent. Ils en déduisent alors à la présence de kystes !
NB : Il est possible d’avoir le SOPK mais que tout semble parfait à l’échographie.
La prise de sang
Si la femme a un cycle menstruel, on lui fera attendre le troisième jour des règles pour faire la prise de sang. Parfois, un progestatif est prescrit pour déclencher les menstruations. La prise de sang va doser plusieurs hormones :
LE RATIO FSH / LH
Au début du cycle, la FSH (hormone stimulant les ovaires) doit être supérieure à la LH (hormone déclenchant l’ovulation). L’ovulation démarre avec le pic de LH.
Cependant, en cas de SOPK, ce ratio est inversé :
- La LH est toujours haute, il n’y a pas de pic, donc pas d’ovulation.
- Au niveau des ovaires, la testostérone va être sécrétée à la place de l’oestrogène.
LES HORMONES ANDROGÈNES
Souvent les médecins ne se préoccupent que de doser la testostérone totale, mais il est important de doser les autres androgènes :
- DHEA ou S-DHEA
- Delta 4 androsténédione
- DHT (Dihydrotestostérone)
SOPK : les symptômes s’aggravent avec l’âge
Le SOPK n’est pas assez souvent prit au sérieux, du moins pas en France. Ou bien il réduit à ses risques de ne pas tomber enceinte. Pourtant, les risques pour la santé sont bien réels, et les complications empirent avec le temps.
Évolution des symptômes en fonction de l’âge :
👧 ADOLESCENTE : Hyper-androgénie (Acné, forte pilosité, perte de cheveux), cycles irréguliers
👩 JEUNE FEMME : Hyper-androgénie, cycles irréguliers voire aménorrhée, infertilité, surpoids
👵 PÉRI-MÉNOPAUSE : Hyper-androgénie, intolérance alimentaire aux féculents, trouble de la glycémie, surpoids
👩🦳 MÉNOPAUSE : risques cardio-vasculaires (AVC, infarctus, etc.), diabète de type 2
Comment déterminer ton type de SOPK
Pour déterminer l’approche dont tu as besoin en naturopathie, il faut d’abord comprendre comment fonctionne le système neuroendocrinien.
Ici, on va surtout s’intéreresser aux organes suivants :
- L’hypohyse (qui sécrète FSH : hormones folliculo stimulante et LH : hormone lutéinisante)
- Les ovaires (qui sécrètent œstrogène et progestérone)
- Le pancréas (qui sécrète l’insuline)
- Les glandes surrénales (qui sécrètent les androgènes, l’adrénaline et le cortisol).
Une mauvaise hygiène de vie va impacter un ou plusieurs de ces organes.
L’alimentation non adaptée, le manque de repos et le stress vont déséquilibrer tout ce système et aggraver le SOPK.
1. Insulino-résistant (70% des cas)
L’insuline, sécrétée par le pancréas, est la seule hormone hypoglycémiante du corps. C’est-à-dire qu’elle fait baisser le taux de sucre dans le sang.
Mais il arrive que le corps ne réagisse plus à l’insuline : c’est l’insulino-résistance. Le pancréas va alors en sécréter davantage.
Quand il y a trop d’insuline, plus de testostérone est sécrétée au détriment des œstrogènes. L’ovulation est alors empêchée.
2. Surrénalien
La plupart du temps, les pathologies des glandes surrénales sont en cause : hyperplasie des surrénales, syndrome de Cushing… Mais il faut garder à l’esprit qu’en cas de stress (émotionnel, psychique ou physique), les glandes surrénales activent le mode “urgence” du corps.
Davantage de cortisol, adrénaline et androgènes sont alors produits pour permettre au corps de réagir plus vite face au “danger”.
En fait, ce système permet au métabolisme de s’accélérer : le sucre et l’oxygène arrivent vite et en grande quantité aux cellules pour que le corps “fuie ou attaque” rapidement et efficacement. Ce mode d’urgence est protecteur de la vie. Mais quand le stress devient chronique, le métabolisme se déséquilibre durablement et le cycle menstruel s’en retrouve impacté.
3. Post-pilule
En prenant un contraceptif hormonal, la femme a des taux de testostérone bas et réguliers. Sauf qu’à l’arrêt de la pilule, on observe un effet REBOND et une augmentation des androgènes. Cela est lié au fait que sous pilule, on sécrète davantage de SHBG, une globuline qui inactive la testostérone. La SHBG (ou TeBG) s’effrondre à l’arrêt de la contraception : trop de testostérone active circule dans l’organisme.
En outre, les contraceptifs hormonaux ont un effet négatif sur la sensibilité cellulaire à l’insuline !
| Lire aussi : Comment arrêter la pilule grâce au sevrage et à la naturopathie
4. Inflammatoire
L’inflammation chronique désactive les récepteurs hormonaux. Dans ce cas, les hormones sont sécrétées normalement mais ne sont plus captées par le corps, elles n’ont plus d’effet. L’ovulation ne peut donc pas se produire.
Qu’est-ce qui cause l’inflammation chronique ?
Typiquement, une alimentation inadaptée à la femme. La consommation en grande quantité de nutriments dits “pro-inflammatoires”, ou les intolérances alimentaires, sont en général la cause de l’inflammation chronique. Le stress est aussi une cause importante d’inflammation chronique.
SOPK : les remèdes naturels
La médecine classique n’a pas de traitement à proprement parler. La pilule peut éventuellement être proposée. Mais comme nous venons de le voir, c’est un non-sens qui va entretenir, voire aggraver, le problème.
A l’inverse, la naturopathie va te donner énormément d’outils et de traitements naturels pour améliorer ton SOPK. En fait, c’est tout ton confort de vie qui va en bénéficier !
Les solutions qui suivent sont toutes importantes, mais nombreuses. Par conséquent, ta naturopathe choisira avec toi les options les plus efficaces en fonction du type de SOPK (j’y reviens à la fin de ce paragraphe).
SOPK traitement naturel
Quelle alimentation pour le SOPK ?
Avant tout, il me parait important de rappeler que l’alimentation doit être PERSONNALISÉE en fonction des symptômes, du terrain et de la constitution de la femme. Les contraintes de vie doivent aussi être prises en compte.
👉 Dans tous les cas, ce n’est pas juste recommandé ou conseillé : il est nécessaire de consulter un professionnel de la santé pour obtenir un diagnostic, et faire le suivi de ton traitement même si celui ci est naturopathique.
💡 L’alimentation devrait toujours être la plus digeste, peu transformée et équilibrée possible. Dans le SOPK, on veillera également à ce qu’elle soit :
– A index glycémique bas
– Anti-inflammatoire
– Optimisée pour la régulation du cycle
❌ On veille à éviter :
– Repas sans protéines ni légumes, c’est à dire quasi que des féculents et dont la charge glycémique est trop élevée.
– Aliments à index glycémique haut (pâtes, riz, pains et farines blanches, le sucre, les dattes, les féculents trop cuits)
– Graisses inflammatoires (les fritures, les huiles végétales rances, l’excès de graisses animales, la cacahuète), qui aggravent la résistance à l’insuline, le risque de diabète de type 2 et le SOPK ainsi que les dysbioses intestinales
– L’alcool, les grignotages et repas trop rapprochés sont des facteurs aggravant également.
✅ On privilégie :
– Les féculents en petite quantité et pas trop cuits, toujours accompagnés de protéines et légumes en quantité suffisante
– On choisira les céréales (riz, blé, épeautre…) sous forme semi-complètes.
– Les aliments anti-inflammatoires riches en Oméga-3 (hareng, maquereau, sardines en marinades, huiles de lin et de noix) et antioxydants (Légumes verts feuilles, baies rouges…).
– En outre, la luzerne (ou alfalfa) pourra être consommée souvent pour son action anti-LH.
De surcroît, prendre soin de sa flore intestinale et du transit est primordial pour ne pas déséquilibrer les hormones féminines.
Pour un maximum d’efficacité, il est excellent bon de tenir compte de ton cycle menstruel : Cycle menstruel et alimentation, phase par phase
Les perturbateurs endocriniens
Parce qu’ils prennent la place de tes hormones naturelles au niveau des récepteurs cellulaires, ils entraînent des déséquilibres du cycle menstruel. Ce qui n’aide pas vraiment le SOPK ! L’inconvénient, c’est qu’on retrouve ces perturbateurs endocriniens partout dans l’environnement, et qu’ils s’accumulent dans notre corps (surtout dans nos réserves de graisse sous-cutanée).
Idéalement :
– Choisis des cosmétiques bios, adaptés à ton type et état de peau et sans perturbateurs endocriniens.
– Ta cuisine sera aussi exempte de silicone, emballages en plastique douteux. On évite également les vieilles poêles en téflon rayées qui peuvent dégager des toxines au moment de la cuisson.
– Tes produits ménagers consisteront si possible en du vinaigre, du bicarbonate et du savon noir la plupart du temps. Rappelons que, en termes de risque pour la santé, faire le ménage quotidien avec des produits plus chimiques revient à fumer plusieurs paquets de cigarettes.
– Favorise le textile et l’ameublement d’occasion. Sinon, lave tes habits avant de les porter pour la première fois et laisse tes meubles neufs s’aérer plusieurs jours.
La phytothérapie du SOPK
Certaines plantes ont une action hormonale et seront d’une grande utilité :
– le Houblon et la Pivoine aident à transformer les androgènes en œstrogènes.
– Il y a aussi La Luzerne qui freine la LH,
– ou encore le Gattilier (Vites agnus castus) qui va réguler les hormones hypophysaires et ovariennes.
Mais attention : ces plantes et la façon de les prendre seront à choisir avec une naturopathe avertie, car elles peuvent être contre-indiquées ou ne pas convenir à ton cas.
Il exisgte aussi des plantes et aliments riches en Chrome et B8, qui vont aider à normaliser la glycémie, dans le cadre d’une alimentation variée : Gymnema Sylvestris, Radicelles de Malt, Cannelle, Berbérine, etc.
Pour revitaliser les glandes surrénales et limiter l’impact du stress, on utilisera du magnésium, de la vitamine B5 et le fameux Bourgeon de Cassis.
☘ Moduler l’inflammation est presque toujours une bonne idée, au moins dans un premier temps. Ici, le Bourgeon de Cassis sera aussi intéressant. Mais on pensera aussi aux omégas-3 du poisson ou aux oméga-6 de l’Onagre par exemple.
Le choix peut être beaucoup plus large mais dépend vraiment de votre terrain ☺
Micronutrition et compléments alimentaires pour le SOPK
Mon chouchou absolu, c’est le SOPKNat de Copmed.
Il contient notamment :
- Du myo-inositol, qui a démontré son efficacité pour réduire la LH et la testostérone
- Des plantes régulatrices des hormones oestrogènes, androgènes et prolactine
- Et enfin des plantes et nutriments pour améliorer la sensibilité à l’insuline et réduire l’inflammation
La supplémentation sur plusieurs cycles est généralement nécessaire.
Gestion du stress
Moduler le stress est incontournable pour équilibrer le système neuroendocrinien. Tu peux choisir un ou deux outils qui te parlent bien. L’aspect le plus important ici, c’est la régularité.
La cohérence cardiaque : Aussi appelée méthode 365 (3 fois par jour, 6 respirations par minute pendant 5 minutes), elle permet à ton cœur de se caler sur les biorythmes naturels. Se faisant, ton cerveau reçoit le message que tout va bien et à son tour, équilibre le système nerveux.
Le yoga de la femme : Il est à la fois relaxant et équilibrant. Il faut souligner qu’en travaillant particulièrement sur l’alignement du dos et l’ouverture du bassin, l’impact sur le système hormonal est indéniable !
Les huiles essentielles : utilisées en olfactothérapie, ou en mettant une goutte sur chaque poignet et une sur le plexus, elles sont très utiles pour apaiser l’esprit et les émotions. En fonction de tes préférences, pense au Néroli, à la Marjolaine à Coquille, au Petit Grain Bigarade ou encore à L’Ylang Ylang.
De façon générale, l’activité physique régulière est importante. Une étude a notamment montré qu’après 8 semaines de sport adapté, le cerveau rétablit la sensibilité à l’insuline.
Grossesse et syndrome des ovaires polykystiques
Faut-il craindre l’infertilité quand on souffre de SOPK ? La question est légitime, puisque les ovulations peuvent se faire rare (voire très rares dans certains cas).
Une approche globale, complète et assidue en naturopathie peut améliorer la situation en quelques mois. On peut donc espérer tomber enceinte naturellement.
Les traitements proposés par la médecine consistent à induire artificiellement l’ovulation. Il peut être intéressant de réfléchir à cette option si tu es très pressée de tomber enceinte (pour une raison ou une autre, comme l’âge avancé par exemple).
Ceci étant dit, je rappelle que ce traitement n’est pas anodin ni sans conséquences pour l’équilibre hormonal. Là aussi, la naturopathie peut t’accompagner.
Autres remèdes naturels pour les symptômes du SOPK
Dans cet article, je t’ai beaucoup parlé de l’aspect hormonal. Aussi, j’ai évoqué les traitements naturels pour traiter le fond du problème en cas de syndrome des ovaires polykystiques.
En parallèle, tu peux aussi avoir envie de prendre soin de toi sur des sujets qui paraissent parfois triviaux aux yeux de certaines. L’hirsutisme, l’acné et le poids sont pourtant de vraies sources de souffrances au quotidien.
Hirsutisme
La croissance des poils est stimulée par l’excès d’androgènes. Par contre, les cheveux en sont écœurés ! C’est pour ça que les femmes atteintes du SOPK observent une forte pilosité ET une alopécie (perte des cheveux, notamment avec une implantation qui recule).
- La N-acetylcysteine est un complément intéressant pour les femmes qui souffrent d’un SOPK insulino-résistant et de forte pilosité.
- L’huile de souchet à des propriétés anti-repousse. Il convient de l’appliquer sur peau humide, après ou en dehors des épilations.
- Côté huile essentielle, la sauge sclarée, aussi utile en décoction, est efficace en application cutanée.
- La caféine en tant qu’actif cosmétique pourrait aussi être intéressante.
| Lire aussi : Perte de cheveux après la grossesse ou hormonale
SOPK et acné
Avec le taux d’androgènes, la sécrétion sébum est fortement stimulé. En cas d’acné, on va chercher à inverser la vapeur. Quelques soins locaux seront de bon ton :
- HYDRATER la peau matin et soir en utilisant un sérum riche en acide hyaluronique avant ta crème hydratante.
- Avoir des gestes très doux pour ne pas stimuler davantage le sébum. Pour l’exfoliation, on préfère une version enzymatique aux acides de fruits.
- L’HE de Tea Tree est très efficace contre les démodex, les bactéries qui infectent la peau.
- La cire de jojoba et l’huile de noisette sont naturellement sébo-régulatrices.
- Comme les sécrétions de testostérone varient avec le cycle menstruel, l’idéal c’est de donner à ta peau exactement ce dont elle a besoin au bon moment : Peau et Cycle menstruel, 4 bons gestes phase après phase
La prise de poids
Qui dit trouble métabolique dit souvent prise de poids ou cholestérol. Ça pourrait paraître contre-intuitif mais il n’en est rien, il te faudra :
- Augmenter tes apports de protéines, notamment dès le petit déjeuner (quitte à les squeezer le soir), pour booster le brûlage des calories.
- Réduire tes apports de féculents, qui eux, sont stockés en graisses !
- Les légumes sont à volonté aux repas, mais choisis-les surtout verts (les petit-pois ça compte pas).
- Limiter le sport à des séances de 40mn, mais pratiquer quotidiennement. Au delà de 40mn, les surrénales sont à nouveau dans l’épuisement et la testostérone est stimulée.
| Lire aussi : Conseils de naturopathie pour perdre du poids
Un accompagnement spécifique médical et naturo, associé à une bonne hygiène de vie, peuvent tout à fait t’aider à résoudre les difficultés à concevoir un enfant ou à retrouver ton cycle.
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